
La décision du constructeur américain a été communiquée par courrier ce même 30 avril 2008. Si dans son annonce, armasuisse - le centre de compétences pour les acquisitions du DDPS - n'indique aucune motif particulier à la décision de Boeing, selon la NZZ Online du jeudi 1er mai 2008, il semblerait que Boeing ait décliné l'invitation à présenter une offre en raison de l'écart qu'il existerait entre les exigences propres au remplacement du Tiger et les possibilités opérationnelles offertes par son Super Hornet.
Doit-on comprendre par là que Boeing refuse de savoir ses F/A-18 E/F Super Hornet voler avec le frein à main tiré et la sourdine enclenchée ? (voir mon précédent billet sur la question du bruit)
Bien qu'elle restreigne le choix des responsables de l'évaluation, cette décision de Boeing comporte à tout le moins un avantage politique : on ne pourra pas reprocher à l'Armée cette fois-ci de préférer un avion de combat américain à un appareil européen, comme ce fut le cas au début des années quatre-vingt-dix avec le F/A-18 C/D Hornet.
Doit-on comprendre par là que Boeing refuse de savoir ses F/A-18 E/F Super Hornet voler avec le frein à main tiré et la sourdine enclenchée ? (voir mon précédent billet sur la question du bruit)
Bien qu'elle restreigne le choix des responsables de l'évaluation, cette décision de Boeing comporte à tout le moins un avantage politique : on ne pourra pas reprocher à l'Armée cette fois-ci de préférer un avion de combat américain à un appareil européen, comme ce fut le cas au début des années quatre-vingt-dix avec le F/A-18 C/D Hornet.

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