En raison d'une semaine d'armée et de la suivante chargée, tant du point vue professionnel que familial, « François Monney blogue... » est resté vierge de tout nouveau billet ces 15 derniers jours. Par manque de temps pour rédiger des billets consistants. Malgré les tribulations d'un bernois à la Défense et d'une genevoise aux Affaires étrangères. Il y aurait eu tant à écrire, voire à rire, à défaut d'en pleurer. Mais las !
J'ai donc délaissé - pas abandonné - quelque peu mon blog officiel pour m'exprimer plus brièvement et spontanément, à la volée, sur Twitter, certes, mais ausi sur mon Tumblr et, depuis quelques jours, sur mon Posterous. Comme l'affirme Guy Kawasaki en sous-titre de son Posterous, ces deux plateformes de blogging sont idéales « For everything that's slightly less than a blog post but slightly more than a tweet ». Expérience faite, j'adhère totalement à cette approche. Bon le transfert automatique sur Twitter du titre d'un mini-billet rédigé sur Posterous pose encore quelques problèmes de gestion des lettres accentuées. Cela va se régler avec le temps.
Partant, « François Monney blogue... » demeure. Il n'accueillera dorénavant plus que des billets consistants et des résumés quotidiens ou hebdomadaires de mon activité sur les plateformes déjà citées : Twitter, Tumblr et Posterous.
Par ailleurs, « François Monney blogue... » migrera sur Wordpress au début du mois d'octobre prochain. Il donnera même naissance à « polemologis.ch » - je sais, c'est assez abscons comme terme, mais « strategis.ch » est déjà pris. La ligne éditoriale de « polemologis.ch » sera axée sur la compréhension de la chose et de l'actualité militaire en Suisse et à l'étranger, ainsi que des affrontements, des conflits et des stratégies.
Tout un programme, et surtout du plaisir d'écrire en perspective.
Hyperliens pour me suivre...
...sur Twitter
...sur Tumblr (essayez sa fonction de recherche, ça décoiffe !)
...sur Posterous

2 commentaire(s):
très bonne décision que de passer sur wordpress. Autrement je serai le dernier à pouvoir reprocher la dispersion sur plusieurs lieux. Je me réjouis déjà de la suite.
Merci pour ton commentaire, Lyonel. C'est précieux, vraiment.
Là, je retourne vite voir Federer qui est en train d'expliquer à la planète tennis que «No 2», il ne l'est devenu que par accident ;-)
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